NutritionLait de Vache : sacrée Vacherie !!! 

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Lait de vache : sacrée vacherie !

Le lait a sans doute été consommé très tôt par l’homme. À partir de quelle période précisément ? Et de quel lait s’agissait-il ?

Une équipe de chercheurs britanniques, dirigée par Richard Evershed, a récemment détecté des traces de lait ou de fromage sur des tessons de céramiques datant de plus de 6 000 ans, ce qui ne veut pas dire qu’il s’agisse de lait de vache.

En France, l’élevage de bovins, remonte à 5000 ans et la consommation abondante de lait animal a 60 ans environ, la grande campagne de Pierre Mendès France a contribué à favoriser cette mauvaise habitude.

Pourtant, aucun animal sauvage ne se nourrit du lait d’un autre animal et ne continue de boire du lait à l’âge adulte. L’homme dit « civilisé » a perdu cet instinct profond, garant de son équilibre et de son intérêt vital.

Chaque individu est différent, réagissant à sa manière suivant son hérédité ; pourtant, lors de la consommation de laitage animal, c’est un effort considérable qu’il demande à son foie surtout lorsqu’il est en présence de pathologie en « ites » comme Rhinites, sinusites, otites, laryngites, trachéites, tendinites, conjonctivites, mastoïdites, méningites, bronchites, pleurites… pour se transformer , si la cause n’a pas été traitée, en « oses » Arthrose, artériosclérose, tuberculose, cancerose… ou en maladies sourdes encore plus dangereuses : Kystes, polypes, mastoses, fibromes, indurations, affaiblissement du système de défenses immunitaires et puis en toutes ces formes de maladies qui encombrent chaque jour, les cabinets de médecins et de guérisseurs. : Eczéma, asthme, croûtes de lait, vomissements, diarrhées chroniques, constipation, nervosité, angines, migraines…

Sachant qu’une seule goutte de lait, même caché dans un aliment, suffit à dérégler le processus du métabolisme de certains individus, il y a de quoi se poser des questions. Il est alors difficile au thérapeute d’être pris au sérieux lorsqu’il demande de réduire ou de supprimer le lait animal qui fait partie de la vie intégrante de chaque citoyen.

La question qui revient toujours : « Mais alors où vais-je trouver mon calcium ? »

Le lait de chèvre est plus léger et serait mieux toléré, mais il reste un lait animal. L’idéal serait de boire du lait d’orge ou d’amandes, de riz ou de sésame ou encore de noisettes… ou bien de suivre les recettes d’Anne Laroche Walter dans son livre « Lait de Vache : Blancheur trompeuse » Éditions Jouvence Pages 67 & 68.

Pour les bébés, des laits sans lactose et 100% biologiques sont sur le marché. « MILKAMAND, DIE MILK, LACTMANDE, MILL MICK » (voir en magasins de diététique ou en pharmacies).

Jean-Claude Collard